De nouveau, la Cour Européenne donne gain de cause aux passagers
jeudi 4 octobre 2012
Bruxelles – Les circonstances extraordinaires, comme une grève (qui sont un motif pour les compagnies aériennes de réorganiser des vols), ne peuvent pas justifier un refus d’accès à bord et ne les libèrent donc pas de son obligation de compenser ses passagers. C’était un des jugements de la Cour Européenne d’aujourd’hui à Bruxelles et c’est pour donner aux passagers un niveau élevé de protection.
Si vous êtes refusés sur un vol à cause d’une grève qui a causé une réorganisation des vols ou si votre premier vol a été retardé et vous ne pouvez plus embarquer sur la correspondance, vous aurez droit à une indemnisation selon la Cour Européenne.
Vous n’aurez pas seulement l’indemnisation pour le refus d’accès à bord quand un vol a été surbooké, mais aussi dans d’autres cas, comme des raisons opérationnelles. La réorganisation des vol en est du ressort mais aussi rater la correspondance quand le premier vol a été retardé moins de 3 heures.
Les compagnies aériennes ne peuvent donc pas dire, sans aucune raison, que c’était une circonstance extraordinaire en cas de rater la correspondance ou refus d’accès à bord causé par une grève du personnel de sol.
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